Quartier Libre, pour une nouvelle vie

02 juillet 2021

A la suite d’un voyage à Bali, Alix Ducret a décidé de changer de vie professionnelle. Tombée sous le charme et le savoir-faire de l’artisanat balinais, elle y a créé sa propre marque de sacs, en 2019. Rencontre.

Alix, racontez-nous la naissance de Quartier Libre…

J’ai toujours aimé voyager. A l’été 2018, je suis partie avec mon sac à dos à Bali. Après avoir visité le Sud et le Centre de l’Ile, je suis tombée sous le charme de l’artisanat balinais. Et c’est ce voyage qui a été le déclencheur de mon envie. J’y ai vécu durant presque un an afin de mettre en place mon projet professionnel. Je ne connaissais rien à la maroquinerie, ni à la gestion d’entreprise. Aujourd’hui, je vis essentiellement de ma marque Le Quartier Libre et je gère tout de A à Z.

Vous mettez en avant l’artisanat balinais, notamment le rotin, tout en étant écoresponsable. Expliquez-nous…

Oui, le rotin est une matière durable et naturelle issue des palmiers. Chaque sac est tressé à la main. Les Balinais ont une technique ancestrale pour la confection des sacs mais pas que. Par exemple, il existe là-bas des fours à sac, c’est comme un barbecue sauf que le feu et la combustion sont élaborés à partir d’écorce de noix de de coco.

Avez-vous dans l’idée d’étoffer votre gamme de maroquinerie ?

Pour le moment, le sac est le cœur de Quartier Libre. Si je dois me diversifier, ce sera toujours en lien et en rapport avec Bali. Dans le thème de la plage, par exemple, en proposant des paréos, des kimonos, des huiles essentielles venues de là-bas. A ce jour, ce n’est pas d’actualité.

Où peut-on voir et acheter vos créations ?

La marque est visible dans différents points de vente notamment dans le sud à St-Tropez et Cavaillon mais également à Paris. Mais le plus simple, c’est encore de découvrir ma collection et de commander via Gold Circle.

Pour en savoir plus sur Le Quartier Libre : https://lequartierlibre.com